13/07/2023
"Le rassemblement de la gauche républicaine s’effectuera autour de Fabien Roussel et du PCF"
La société fraternelle des amis de l’égalité explique pourquoi Fabien Roussel a eu, à ses yeux, la meilleure réaction après la mort de Nahel et les émeutes. Pour la fraternité de francs-maçons, le secrétaire national du Parti communiste français (PCF) serait le mieux placé en vue de la constitution d'un nouveau Front populaire.
La société fraternelle des amis de l’égalité explique pourquoi Fabien Roussel a eu, à ses yeux, la meilleure réaction après la mort de Nahel et les émeutes. Pour la fraternité de francs-maçons, le secrétaire national du Parti communiste français (PCF) serait le mieux placé en vue de la constitution d'un nouveau Front populaire.
Car il faut bien l’admettre, notre pays sort tout juste d’une crise qui aurait pu nous mener tout droit à la guerre civile. Elle a débuté avec la mort du jeune Nahel, tué par un policier au cours d’un contrôle routier, consécutif à une conduite à risque dans les rues de Nanterre. Si l’enquête doit déterminer avec précision les conditions dans lesquelles cette tragédie est intervenue, les premières images dont nous disposons semblent accablantes pour le fonctionnaire de police. Dans notre démocratie, aucun dépositaire de l’ordre public n’a le droit de vie ou de mort sur un individu, sauf en cas de légitime défense.
Un comportement exemplaire
Suite à ce drame, pris au sérieux par le gouvernement, certains quartiers se sont embrasés dans nos villes. Des jeunes, parfois très jeunes, se sont livrés à des affrontements nocturnes avec les forces de police. Certains d’entre eux ont également procédé à la dégradation de biens, souvent publics, détruisant ce que certaines municipalités, en particulier communistes, avaient mis des années à construire contre beaucoup d’adversité politique.
Or depuis Jaurès, nous savons que les services publics constituent le patrimoine de ceux qui n’en ont pas. En agissant ainsi, ces jeunes ont annihilé les outils – peu nombreux dans certains quartiers – de leur émancipation. Pis, ils ont risqué leurs vies, tout comme celles des forces de l’ordre, de la majorité silencieuse de ces quartiers et des élus locaux, qui firent preuve d’une dévotion extraordinaire pour maintenir leurs villes à flot.
Le péril était imminent. Nombre de citoyennes et de citoyens étaient en attente d’un discours républicain, alliant exigences de paix civile, de justice et des préconisations visant à établir une véritable République laïque et sociale. Fabien Roussel a tenu la barre. Il a dénoncé sans ambiguïté l’atrocité dont a été victime le jeune Nahel. Il s’est opposé aux destructions nocturnes et aux actes nihilistes en tous genres. Il a soutenu les élus locaux. Puis, en homme d’État, il s’est employé à dérouler des propositions pour que la concorde et l’égalité des droits s’appliquent sur l’ensemble du territoire national. Il a dessiné un projet politique au service de l’émancipation humaine.
L'importance d'un nouveau Front populaire
Qui peut en dire autant sur l’échiquier politique ? Pas la France insoumise (FI), laquelle, en refusant d’appeler au calme, s’est durablement compromise, pensant à tort que cette attitude lui serait profitable sur le plan électoral. Il n’en est rien, comme en attestent les enquêtes d’opinion qui démontrent que le comportement des élus FI a été très mal perçu, en particulier chez les électeurs de gauche. Dans la chaleur de cette crise, les masques sont tombés une bonne fois pour toutes. Il est désormais certain que le rassemblement de la gauche républicaine s’effectuera autour de Fabien Roussel et du Parti communiste français (PCF).
Cette exigence a été formalisée par Fabien Roussel lui-même dans un entretien accordé sur RMC : « Je veux une gauche qui remet en cause ce système économique, une gauche qui ne cède rien aux valeurs de la République, qui défend la justice, l’égalité, mais aussi l’ordre et la sécurité. Cette gauche-là, elle existe dans notre pays, ce n’est pas celle que représente la France insoumise et une partie de ses députés. Il y a chez les insoumis, les verts, les socialistes, des militants, des élus, des électeurs qui souhaitent que cette gauche-là existe. »
Cet espace, à l’instar de ce que fut le Front populaire, doit être construit rapidement si l’on veut empêcher notre République de finir dans les mains de Marine Le Pen et du Rassemblement national.
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26/02/2022
Présidentielle 2022 : le programme de Fabien Roussel pour « la France des jours heureux »
11:51 Publié dans Actualités, Connaissances, International, Point de vue | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : programme, fabien roussel, pcf | |
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27/01/2022
VACCINS : FABIEN ROUSSEL A T-IL RAISON ?
Récemment, le candidat à l’élection présidentielle Fabien Roussel affirmait que les vaccins contre la Covid pouvaient être produits massivement dans les pays du Sud, que les capacités et les usines existaient bel et bien, ajoutant qu’il était urgent de lever les brevets pour lutter efficacement contre la pandémie. Vrai ou faux ? Y aurait-il vraiment un obstacle insurmontable à leur production en masse dans le Sud autre que politique comme l’affirme le candidat communiste ? Décryptage.
Par Irene Perrin Toinin pour Progressiste
La réponse à cette question est à peut-être à chercher du côté de l’organisme Human Rights Watch qui a mis en évidence dans un article paru sur son site internet en décembre 2021 que 100 entreprises, dans près d’une quinzaine de pays en Asie, Afrique et Amérique du Sud, ont la possibilité aujourd’hui de produire leurs propres vaccins à technologie ARN messager[1].
Comme l’indique la communauté scientifique, la sortie de la pandémie passe par la vaccination massive de l’ensemble de la population mondiale. Or : Les prévisions de production mondiale de vaccins laissant entendre qu’il y aura bientôt assez de vaccins contre le Covid pour toute la population du monde sont trompeuses, dénonce Aruna Kashyap, directrice adjointe de la division entreprises et droits humains de l’ONG Human Rights Watch. Tandis que le virus mute, les États-Unis et l’Allemagne ne devraient pas laisser les laboratoires dicter où et comment des vaccins doivent être acheminés dans la majeure partie du monde. [2]
Le développement fulgurant du variant OMICRON a bien démontré toute l’utilité sanitaire de la vaccination massive des populations. Ce sont les pays pauvres d’Afrique et d’Asie qui n’ont pas accès aux vaccins. Ainsi, tandis que le taux de vaccination actuel approche des 80% dans les pays européens, il est seulement d’environ 35% au Bangladesh, 4% en Ouganda, autour de 30% en Afrique du Sud. Outre l’injustice criante que cela représente, il s’agit par ailleurs d’un enjeu sanitaire pour sortir de cette pandémie qui accable le monde depuis 2 ans. D’autant plus que les États sont capables de produire ces vaccins dont les brevets appartiennent à des firmes pharmaceutiques. Rappelons-nous de l’interpellation de l’Inde et de l’Afrique du Sud faite à l’Organisation Mondiale du Commerce dès fin 2020 pour demander une levée des brevets nationaux sur les vaccins anti-Covid-19. L’Afrique du Sud a d’ailleurs récemment pris les devants face à l’attente de la levée des brevets. Le 19 janvier 2022[3], le président sud-africain Cyril Ramaphosa et le milliardaire américano-sud-africain Patrick Soon-Shiong, ont inauguré la première usine de fabrication de vaccins sur le continent au Cap. Si le grand pays africain pourra « se débrouiller seuls(…) libérés des chaînes du colonialisme » comme l’affirmait son président, il restera dans ce cadre dépendant du capital et du marché néo-libéral. La levée des brevets sur les vaccins anti-covid reste pour autant une nécessité.
À ce titre, l’initiative en France du candidat PCF aux élections présidentielles et député du Nord, Fabien Roussel peut donc être légitimement saluée : avec les membres et élus du PCF, il réclame en effet depuis un an cette levée des brevets sur les vaccins. Donc, Fabien Roussel dit vrai sur la nécessaire internationalisation de la production des vaccins.
Il affirmait aussi sous la plume du journal l’Humanité du 2 décembre lors d’une rencontre de l’association des journalistes parlementaires organisée le 1er décembre 2021 : « [Lever les brevets,] c’est permettre que la formule de ces vaccins soit connue de tous, que tous les scientifiques puissent échanger, que tous les pays qui le veulent puissent les produire. Cela permettra de créer de la transparence, de la confiance en ces vaccins qui manque aujourd’hui pour que tout le monde aille se faire vacciner », a-t-il assuré ajoutant que « plus de 100 pays demandent la levée des brevets et des transferts de technologie ».
Cette levée de la propriété intellectuelle sur les traitements avait déjà été réalisée dans le cadre de l’épidémie du VIH. En juillet 2011, le laboratoire pharmaceutique américain Gilead avait renoncé à ses brevets sur 4 molécules aux bénéfices de quelques pays. Ainsi, par exemple, les fabricants indiens de génériques ont pu produire des copies de traitements anti-VIH de Gilead, donnant accès à des populations de pays pauvres aux mêmes avancées dans le domaine de la recherche médicale contre le Sida que les populations des pays riches. Cela restait toutefois assez limité. En 2017[4], un jugement européen a déclaré illégal la prolongation du brevet de Gilead sur le Truvada, un des médicaments le plus utilisé contre le sida. La fin du monopole de la firme américaine permettait le développement des génériques du Truvada en Europe.
Ainsi, la problématique est la même pour l’épidémie de Covid-19 : celle du monopole de firmes pharmaceutiques sur les traitements et les vaccins à des fins mercantiles de profits immédiats au mépris des vies humaines.
Lors de la fête de l’Humanité qui s’est tenue en septembre 2021, Jérôme Martin, co-fondateur de l’observatoire de la transparence dans les politiques du médicament, était invité au débat sur la levée des brevets à l’Agora de l’Humanité. Il affirmait alors que le médicament ne peut être une marchandise : « On ne sait pas combien les industriels ont reçu d’aides publiques pour pouvoir développer les vaccins contre le covid-19 »
L’industrie pharmaceutique en a bien reçu des milliards. Les laboratoires pharmaceutiques comme Pfizer ou Moderna font des bénéfices sur le dos de la crise sanitaire, alors qu’ils ont démarché des sous-traitants pour la production du vaccin et son flaconnage. Oxfam a calculé que Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca ont versé 26 milliards de dollars à leurs actionnaires au cours des 12 derniers mois.[5] Avec les droits exclusifs d’exploitation liés à la propriété intellectuelle, 100 pays sont aujourd’hui bloqués par les monopoles pharmaceutiques pour la production des vaccins.
Cet égoïsme monopolistique est d’autant plus dramatique qu’il alimente la méfiance d’une partie de la population à l’égard de la vaccination. Or, la communauté scientifique a prouvé qu’un faible taux de vaccination engendre un taux de malades et de mortalité importants des suites de cette maladie. La région de la Caraïbe est particulièrement exemplaire en ce sens. Alors que les populations des Antilles françaises connaissent une méfiance accrue à l’égard de la vaccination, donnant lieu une flambée épidémique aux conséquences désastreuses à partir du mois de juillet 2021[6], plus au Nord, Cuba a su développer ses propres vaccins et enrayer le développement de la crise sanitaire sur son territoire[7]. Il s’agit des résultats de politiques en faveur de la santé publique mises en œuvre depuis des décennies[8]. Ayons en mémoire que, dès 2020, des médecins cubains sont envoyés par leur pays afin de porter assistance aux systèmes de santé étrangers, allant même jusqu’à assister des pays riches (Italie notamment). À l’heure actuelle, Cuba connaît un taux de vaccination de 93% selon les données disponibles (ourworldindata.org).
Lors du rassemblement du PCF du 3 février 2021, Fabien Roussel affirmait : « nous demandons que la découverte de ces vaccins tombe dans le domaine public, afin que ces vaccins puissent être produits librement »[9]. Presqu’un an plus tard, il déclare, interviewé par la chaîne Réunion la 1ère en décembre 2021 : « Le meilleur moyen de lutter contre l’apparition des variants, l’OMS le dit, c’est que tous les pays aient accès aux vaccins. Or, il y a une injustice […]. Si je suis élu, je demanderai immédiatement la levée des brevets. »[10] .
Les membres du comité de rédaction de la revue Progressistes ne peuvent qu’approuver ces prises de position d’utilité publique et provenant du PCF et de son candidat aux élections présidentielles.
Irène Perrin Toinin, le 19/01/2022
[1]https://www.hrw.org/fr/news/2021/12/15/covid-19-des-exper...
[2]N’en déplaise à Big Pharma, les vaccins à ARN messager peuvent être produits partout dans le monde | L’Humanité (humanite.fr)
[3]https://afrique.tv5monde.com/information/afrique-du-sud-p...
[4]https://www.aides.org/communique/generique-de-fin-pour-le...
[5]Levée des brevets : démêler le vrai du faux (oxfamfrance.org)
19:29 Publié dans Connaissances, Economie, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fabien roussel, covid, masques | |
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15/01/2022
Amine El Khatmi : "Soutenir Fabien Roussel face aux attaques, c’est soutenir une certaine idée de la gauche"
Pour Amine El Khatmi, président du Printemps républicain, Fabien Roussel « est la cible d’une véritable entreprise de démolition de la part d’une extrême gauche égarée dans le décolonialisme, la complaisance avec l’islamisme et le wokisme disqualificateur. »
La gauche se meurt mais elle n’est pas morte. Enfin, pas encore. Et l’épisode que vient de vivre Fabien Roussel, député, secrétaire national du PCF et candidat à la présidence de la République est emblématique de cette situation autant qu’il est inquiétant sur la dérive actuelle du débat public.
Comme cette accusation revient en boucle sur les réseaux sociaux, je précise tout de suite que Fabien Roussel n’est pas « proche du Printemps Républicain ». Je ne l’ai jamais rencontré et il n’a jamais participé à un événement de notre mouvement. Nous avons de forts désaccords et des visions qui diffèrent sur plusieurs sujets. Mais je considère qu’apporter un soutien républicain à Fabien Roussel face aux attaques, c’est soutenir une « certaine idée » de la gauche : républicaine et sociale.
Entreprise de démolition
Depuis plusieurs jours, Roussel est la cible d’une véritable entreprise de démolition de la part d’une extrême gauche égarée dans le décolonialisme, la complaisance avec l’islamisme et le « wokisme » disqualificateur, réduite à un noyau dur de militants aussi sectaires que déconnectés de la réalité du pays.
Premier acte, le 5 janvier 2022. À l’occasion de la commémoration des attentats de janvier 2015, le député communiste organise un hommage à Charlie, en présence notamment de Marika Bret et de Caroline Fourest, deux fidèles et historiques amies du journal satirique. Il n’en fallait pas plus à ceux qui vomissent depuis cinq ans sur les cadavres de Charb et de ses amis pour y voir la main invisible du Printemps Républicain qui serait en train de grand remplacer le PCF. À l’instar de la députée Elsa Faucillon qui s’est répandue sur les réseaux pour dire son angoisse à l’idée que des militants laïques aient pu rentrer dans la salle du Colonel Fabien.
L'épouvantail Printemps Républicain
Pour la petite histoire et démonter la paranoïa qui règne dans l’esprit de certains, personne du Printemps Républicain n’était présent ce soir-là. Il faut dire que le pauvre Fabien Roussel aggravait son cas aux yeux de ses contempteurs, ayant eu l’outrecuidance quelques jours plus tôt de rendre hommage à notre ami Laurent Bouvet au moment de son décès, mettant en transe une partie de ses camarades qui, n’écoutant que leur acrimonie pavlovienne, avaient déjà hurlé à la trahison.
Deuxième acte, Fabien Roussel, sous monitoring des dingues, commet un tweet anodin sur la gastronomie française : « Un bon vin, une bonne viande, un bon fromage : c’est la gastronomie française. Le meilleur moyen de la défendre, c’est de permettre aux Français d’y avoir accès. ». Quelques mots banals permettant au cloaque de Twitter de déverser sur lui des tombereaux orduriers, l’accusant de tous les maux. Dans un « space » twitter (les salons de conversations audio en direct) organisé par Taha Bouhafs et Sihame Assbague, nous avons entendu l’inacceptable. Plus de 3 heures de délires victimaires et d’accusations toutes plus abjectes les unes que les autres, Fabien Roussel étant même qualifié dès les premiers minutes de « suprémaciste blanc » et de « raciste » qui défend « les ouvriers blancs ». Rien que ça. Sans que les organisateurs ne mouftent.
« Proche du CRIF »
Pour ces obsédés de la race, tout n’est qu’identité. Et donc, quand Fabien Roussel dit « viande », ils entendent « porc » et donc rejet des musulmans. Quand il parle de « vin », ils entendent « pinard ». Roussel est donc forcément un « identitaire », « réactionnaire », un « islamophobe » qui reprend les thèmes de l’extrême droite.
À ces délires s’est ajouté, évidemment, l’antisémitisme. Parce qu’il faut bien trouver des explications à tout ceci, alors on invoque les juifs, par contumace. Une intervenante a reproché à Roussel d’avoir un entourage « proche du CRIF », anathème suprême pour dire « un mal qui est profond ». Personne n’est venu la contredire. Il y a des silences qui valent consentement.
Bilan de cette séance de psy à ciel et à tombeau ouvert, une auditrice dit avoir « honte d’avoir des grands-parents communistes ».
Ce qui arrive à Fabien Roussel n’est pas anecdotique. Les indigénistes laïcophobes d’extrême-gauche ont entrepris de passer au Kärcher identitaire le Parti Communiste Français dans un exercice de cancel culture délirant qui fait que défendre Charlie et dire qu’on aime la gastronomie française vous vaut les derniers outrages numériques.
Suicide collectif
Toute la gauche, et toute la classe politique auraient dû se lever pour se rebeller contre cet activisme délirant qui tue le débat public et qui règne par l’intimidation et la peur.
A gauche, où sont les esprits responsables pour mettre un terme à ce suicide collectif et à cette confiscation de la parole par des commissaires politiques qui ne représentent que leur compte Twitter et que rien, absolument rien, ne devrait autoriser, dans une République digne de ce nom, à délivrer des fatwas contre ceux qui, à leurs yeux, « pensent mal » ?
C’est notre vitalité démocratique qui est en jeu. C’est aussi notre liberté. Car pendant ce temps, l’extrême droite avance et n’est pas loin des portes du pouvoir.
12:55 Publié dans Actualités, Point de vue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amine el khatmi, président du printemps républicain, fabien roussel | |
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